vendredi 11 février 2011

Anti-Blanc - Le lynchage de Bollène dont personne ne parle

EXCLUSIF – Le lynchage anti-Blanc de Bollène dont personne ne parle


Marie-Claude Bompard, maire de Bollène, et une partie de l'équipe municipale lors de la manifestation de soutien à la victime devant le lycée Lucie-Aubrac, ce vendredi.
12/2/2011 –
BOLLENE (NOVOPress) : Samedi 5 février dans l’après-midi, à Bollène dans le Vaucluse, un événement dramatique comme il y en a de plus en plus en ce moment est survenu entre un jeune homme de type européen de 18 ans et un jeune d’origine maghrébine de 14 ans sur des motifs non encore complètement définis. Alors qu’il assiste en spectateur à un match de hand-ball au gymnase du lycée Lucie-Aubrac de Bollène, E. J., lors d’une pause cigarette, se fait prendre à partie par un « jeune » de la cité voisine. Le ton monte rapidement, le  « jeune » frappe le premier, mais il a en face un solide garçon qui le maîtrise rapidement.
L’histoire, qui semble au départ banale, aurait pu en rester là. C’était sans compter sur une volonté délibérée d’en découdre beaucoup plus sérieuse venant de la part de notre jeune Français d’origine extra-européenne et de ses inévitables et nombreux petits camarades ! En quelques minutes, au moins une quinzaine de « jeunes » – et de beaucoup moins jeunes, puisque, selon les témoins, il y a aurait eu quelques jeunes adultes dans le lot – investissent le gymnase et fondent sur leur proie.
Une patrouille de la police municipale — deux agents en ronde devant le lycée – intervient immédiatement pour séparer les protagonistes et tente de maitriser la situation et, dans la confusion générale, le jeune homme sort par une porte arrière où l’attend malheureusement le reste du groupe. S’ensuit un terrible passage à tabac dans les règles, où, comme dans les pires images des « chasses aux Blancs » des manifestations du CPE, la victime, une fois à terre, a été frappée de coups de pied en plein visage et piétinée à pieds joints alors qu’elle était déjà inconsciente !
Le jeune homme a été transporté à l’hôpital où il est resté quelques heures dans le coma, et où il a subi une première opération d’une sérieuse blessure à la tête. Son pronostic vital n’est, heureusement, pas engagé. Mais il devrait néanmoins certainement subir dans les jours qui viennent de nouvelles opérations. Il a d’ores et déjà un arrêt de travail d’un mois et demi minimum. Il est à noté que la gendarmerie a mis pas moins de 35 minutes à se rendre sur les lieux (distance gendarmerie-lycée, moins de 5 km…) et n’est arrivée que lorsque tout était absolument fini.
Jeudi 10 février, la presse bollénoise n’avait toujours pas daigné parler de cette sordide histoire, ni La Provence, ni Vaucluse Matin (groupe Le Dauphiné). Ce n’est qu’après un communiqué officiel de la mairie, qui, devant ce silence assourdissant et pour montrer son soutien à ses agents, à la victime et à sa famille, a appelé à manifester devant le lycée vendredi à 17 heures, que la presse a daigné y consacrer quelques lignes, se permettant au passage de tromper leurs lecteurs sur la date de la manifestation, la reportant à samedi ! Le communiqué de la mairie a d’ailleurs été modifié pour « épargner certaines susceptibilités »…
Une série de plaintes est en cours de dépôt et les agents municipaux ont formellement reconnu plusieurs des protagonistes, habitant pour la plupart dans les cités voisines du lycée et bien connus des services de police. De plus, le rapport de police fait clairement état de propos tenus par les agresseurs visant la qualité de « Blanc » de la victime et leur claire appartenance à une autre ethnie pour justifier leur violence : « Chez nous, il n’y a pas de plainte, on fait comme ça »…
La directrice du lycée a dès à présent pris la décision, pour des raisons de responsabilité professionnelle et de sécurité, de dénoncer tous les accords entre le lycée et les associations extérieures impliquant des rencontres ouvertes au public dans son établissement. Cette situation pénalise durement au passage le club de hand-ball de Bollène qui devait jouer plusieurs matchs important dans ce gymnase dans les semaines qui viennent et qui regrette amèrement cette décision consécutive à un drame n’ayant impliqué aucun de ces joueurs mais seulement du public.
R. B., pour Novopress

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Lyon : Une agression anti-française au cutter !


17/03/11 – 12h20
LYON (NOVOpress) –
Le procès de Maxime D, 18 ans et sans emploi, a été reporté. Il est accusé, le 7 mars dernier dans un tram, d’avoir porté un coup de cutter au visage d’un autre voyageur, lui tailladant la joue de la bouche à l’oreille. Selon le site Lyon-Info qui rapporte les propos du président du tribunal correctionnel,  « il aurait vociféré : « nique la France, nique les Français », importunant des passagers. « Calme-toi », lui aurait alors lancé la victime, un homme de 43 ans, accompagné de son neveu.»
Compte-tenu des enregistrements vidéo, Maxime D a reconnu les faits.
Aucune association anti-raciste n’était présente à l’audience. Surprenant ? Les mauvaises langues diront que non puisqu’il est question de racisme anti-français.

[cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine




Comparutions immédiates

L’attaque au cutter dans le tram T2 : procès reporté

Maxime D, soupçonné d’avoir porté un coup de cutter au visage d’un autre voyageur, lui tailladant la joue de la bouche à l’oreille, a comparu ce lundi devant le tribunal correctionnel de Lyon. Il a demandé un renvoi pour pouvoir préparer sa défense.
Un acte de violence gratuite. Selon le récit du président du tribunal correctionnel, Maxime D, 18 ans et sans emploi, serait monté le lundi 7 mars vers 22h à bord du tram T2. Fortement alcoolisé, il aurait vociféré : « nique la France, nique les Français », importunant des passagers. « Calme-toi », lui aurait alors lancé la victime, un homme de 43 ans, accompagné de son neveu. C’est quand les deux descendent à l’arrêt Villon, que Maxime aurait sorti de sa poche un cutter de 16 cm et porté un coup au visage de sa victime.
« A travers la blessure, on voyait ses dents », a précisé le juge, citant un témoin. Une balafre qui a nécessité 23 points de suture et a occasionné un arrêt de travail de 15 jours. Présent à l’audience, la victime arborait une cicatrice fraîche d’une dizaine de centimètres de longueur. L’agresseur présumé a été arrêté jeudi dernier chez lui. Confondu par les enregistrements vidéo fournis par les TCL, il a reconnu les faits et indiqué aux policiers la bouche d’égout où il avait jeté le cutteur. Le juge a ordonné son maintien en détention en attendant son procès dont la date a été fixée au 7 avril.
A la sortie de l’audience, ses proches étaient effondrés : « Ça ne lui ressemble pas. C’était a cause de l’alcool. »
Photo : © Michael Augustin
http://www.lyon-info.fr/?L-attaque-au-cutter-dans-le-tram
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http://christroi.over-blog.com/categorie-10886117.html

Jeudi 25 novembre 2010 4 25 /11 /Nov /2010 21:31
Les pompiers attaqués à Chanteloup-les-Vignes
Ils sont de plus en plus pris pour cibles lors de violences urbaines qui suscitent leur indignation. La police se dit solidaire.
 
Trop c'est trop! Les pompiers n'en peuvent plus d'être pris pour cibles par les bandes. Et ils entendent le dire avec force jeudi, à l'occasion d'une opération de communication orchestrée par leurs représentants syndicaux au niveau national. L'événement qui a mis le feu aux poudres est l'attaque de la caserne de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), dans la nuit de vendredi à samedi dernier. Un fait divers «occulté», à leurs yeux, et qui traduit, disent-ils, une dégradation significative du climat dans les quartiers sensibles.
«Jusqu'alors, alerte un pompier local, nous étions visés par des jets de projectiles lors de nos interventions au pied des barres, mais à Chanteloup, ce n'est plus un simple caillassage. C'est un assaut en règle que nous avons subi, le premier du genre, mené par une horde d'individus ivres de haine.» Ces débordements seraient consécutifs à une opération de police réalisée, ce soir-là, contre le trafic de drogue, dans la cité toute proche du quartier de La Noé. Une action de représailles de la pègre locale, en somme. «D'autant plus inadmissible qu'elle était dirigée contre des pompiers au seul motif qu'ils portent un uniforme», s'indigne Thierry Gerber, expert en sécurité auprès de la CGT.
Jean-Claude Delage, le patron du syndicat de gradés et gardiens Alliance (proche de la majorité), rappelle que des membres des forces de l'ordre ont également été agressés à Chanteloup, lors de cette intervention. «La police dérange parce qu'elle fait son travail», estime-t-il. Selon lui, un «stade supérieur» de la violence a été atteint cette nuit-là. Au lendemain de ces faits, le syndicat SGP-FO, majoritaire dans la police, avait diffusé, pour sa part, un communiqué, passé un peu inaperçu: «La Courneuve, Chanteloup-les-Vignes, Auxerre, Orléans, Lyon. La liste est longue et malheureusement loin d'être exhaustive. Chaque jour, chaque nuit, les représentants de l'État, policiers nationaux, gendarmes, pompiers, sont les victimes privilégiées de quelques voyous qui agissent toujours avec une très grande lâcheté», peut-on y lire.
 

«Il a fallu se barricader» 

 
«Les gars ont eu vraiment peur», raconte l'un des porte-parole des pompiers de Chanteloup-les-Vignes. «Les voyous des immeubles voisins sont arrivés à quarante, capuche sur la tête et écharpe nouée sur le visage pour ne pas être reconnus», raconte un soldat du feu. «Il y a trois ans, une poignée d'imbéciles avait bien brûlé une ambulance sur le parking, mais là, comme un commando, ils nous ont attaqués de tous côtés, à coups de pavés, de boules de pétanque et de cocktails Molotov», poursuit-il.
La petite douzaine de soldats du feu qui occupent cette caserne, imbriquée dans la cité, se croyait protégée par ses hauts murs et son portail métallique bien verrouillé. «Mais sous la pluie de projectiles, il a fallu se barricader», se souvient l'un d'eux. Les voyous tentaient d'empêcher les pompiers d'éteindre les cocktails Molotov qui s'enflammaient dans la cour. Chanteloup est l'une des rares casernes à disposer de caméras de surveillance. Mais en milieu hostile, leur effet dissuasif reste visiblement limité.
 
Vendredi 12 novembre 2010 5 12 /11 /Nov /2010 08:16
Étranger à nos mœurs, à notre histoire et à notre peuple, Pierre Nora (Ndlr. de l'Académie dite "française"...) dans une lettre ouverte au ministre de la culture Frédéric Mitterrand publiée dans l'édition du Monde du 11 novembre 2010, s’est élevé contre le projet de la Maison de l'histoire de France (projet qui figurait dans le programme du candidat Sarkozy en 2007), qui changerait pourtant un peu des musées de la shoah, de l’holocauste, du génocide, de l’immigration et de l’esclavage.
  
Ce musée « aura beaucoup de mal à se remettre de son origine impure et politicienne » affirme-t-il.
 
Il prétend que Sarközy « l'a lancé en janvier 2009, en pleine remontée du Front national et pour 'renforcer l'identité nationale'. Il s'est trouvé pris dans la lumière, ou plutôt dans l'ombre de cette funeste enquête sur ladite identité. C'est là son péché originel ». 
 
 
Sur le Figaro, vous pouvez veau-ter : "Etes-vous favorable à la création d'une Maison de l'histoire de France ?" Réponse : oui à 56, 60 % à cette heure-ci.
 

 
Sources : 1, 2
Jeudi 19 août 2010 4 19 /08 /Août /2010 12:41
En Israël, un rabbin colon auteur d'un livre justifiant le meurtre, de goys (non-juifs), y compris des enfants, a été arrêté jeudi par la police israélienne, a annoncé la radio militaire.
Ce rabbin, Yossef Elitzur, résidant dans la colonie d'Yitzhar dans le nord de la Cisjordanie et co-auteur d'un ouvrage intitulé "La Torah du roi", est soupçonné d'incitation à la haine raciale et à la violence.
Dans cet ouvrage publié au début de l'année, les rabbins Elitzur et Yitzhak Shapira affirment que les non-juifs ne sont pas, "par nature, sujets à la compassion" et que les attaquer "peut freiner leurs inclinations malignes", selon des extraits publiés par le quotidien Haaretz.
Les deux auteurs estiment également qu'il peut être licite de tuer les bébés et les enfants des "ennemis d'Israël car il est clair qu'ils nous porteront préjudice lorsqu'ils auront grandi". 
 
Rabbin Yosef Elitzur
 
"Partout où l'influence de goys constitue une menace pour la vie d'Israël, il est permis de les tuer, même s'il s'agit des Justes parmi les nations", soulignent ces rabbins en faisant allusion à ceux qui ont sauvé des juifs durant la Deuxième Guerre mondiale.
L'ouvrage a été publié avec l'imprimatur de deux autres rabbins plus connus, Dov Lior et Yaakov Yossef, fils du rabbin Ovadia Yossef, fondateur et chef spirituel du Shass, un parti ultra-orthodoxe représenté au gouvernement.
Ces deux rabbins ont refusé de répondre à une convocation de la police qui voulait leur demander des explications.
 
Sources : 1; 2; 3; 4; 5
 
Commentaire de Christ-Roi : tendre la joue gauche et prier pour ses ennemis contre la loi du talion on se demande bien qui est compassionnel et qui ne l'est pas ! ... Lire les enseignements du Talmud sur les Chrétiens : édifiant !
 
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Add. vendredi 20 août 2010 11:45
Le rabbin arrêté jeudi par la police israélienne, Yossef Elitzur, résidant dans la colonie d'Yitzhar dans le nord de la Cisjordanie occupée, a été libéré quelques heures plus tard, apprend-on vendredi auprès d'une association qui a pris sa défense.
 Le tribunal de Rishon Le Zion, au sud de Tel-Aviv, a ordonné sa libération reprochant à la police de ne pas l'avoir convoqué auparavant pour interrogatoire, selon un communiqué de l'association de juristes ultra-nationalistes Honenu.
Sources: 1; 2
Dimanche 25 avril 2010 7 25 /04 /Avr /2010 09:08
Peu de personnes connaissent les propos qu’a tenu le professeur Noel Ignatiev dans le journal d’Harvard en septembre 2002, dont certains sont repris sur le site antifrançais « Indigènes de la République ». Ignatiev, américain d’origine russe juive, est chercheur à  l’Institut Dubois de Recherche Afro-Américaine.

- « Le Blanc est un oppresseur raciste, sexiste et homophobe ».
- « Il faut abolir la race blanche ».
- « Pour ce faire, les abolitionnistes ne doivent rejeter aucun moyen d’action. »
- « Le but d’abolir la race blanche est si désirable que certains pourraient trouver très dur à  croire qu’il y ait une opposition. Si des gens s’y opposent, alors ce sont des suprémacistes blancs. »
- « La clé pour résoudre les problèmes sociaux de notre temps est l’abolition de la race blanche ».
- « Ne vous trompez pas. Notre intention est de continuer à  frapper sur les mâles blancs, morts ou vifs, et les femmes blanches aussi, jusqu’à  ce que le concept social connu sous le nom de « race blanche » soit détruit : pas simplement « déconstruit » : détruit. »

 
Source
Vendredi 5 mars 2010 5 05 /03 /Mars /2010 15:34
La Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) et le Mrap exigent le retrait d'une affiche électorale du Front national dans le sud-est de la France proclamant "Non à l'islamisme".

L'organisation a saisi le juge des référés du tribunal de grande instance de Marseille qui rendra sa décision lundi.

L'affiche, placardée par le mouvement de jeunesse du FN en Provence-Alpes-Côte d'Azur, représente une femme en burqa devant une carte de France recouverte d'un drapeau algérien et d'une demi-douzaine de minarets, à la manière de celles qui plaidaient pour le "oui" au référendum suisse de novembre dernier sur les minarets.

Pour slogan, on peut lire: "Non à l'islamisme, la jeunesse avec Jean-Marie Le Pen".

"C'est une mystification. C'est une caricature du message politique, une incitation à la haine raciale", a plaidé Me Michel Pezet, qui a réclamé au nom de la Licra son retrait de l'affichage et du site internet du Front national.

L'avocat du FN, Me Wallerand de Saint-Just, a pour sa part dénoncé le "procès d'intention" fait selon lui par l'organisation de défense des droits de l'homme. "Cette affaire n'attaque, en aucun cas, l'islam ou les musulmans, mais l'islamisme", a-t-il dit. "Pour essayer de la faire interdire, vous êtes obligés de torturer la liberté d'expression".

Tête de liste du FN dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, Jean-Marie Le Pen a assisté à l'audience.

"Je suis venu dire non à l'emprise algérienne sur notre pays. Que chacun prenne ses responsabilités", a déclaré Jean-Marie Le Pen.

Sources :
1, 2, 3, 4
Jeudi 14 janvier 2010 4 14 /01 /Jan /2010 18:11
Jessica Sebaoun-Darty et Jean Sarkozy viennent d’avoir leur premier enfant.
Le jeunes couple lui a donné le joli prénom de Solal. Après des recherches, il nous a fallu conclure qu’il n’existait pas de Saint Solal dans notre calendrier. En réalité, le prénom du chérubin est bien peu traditionnel dans notre pays mais très porté en Israël.
Précisons pour nos lecteurs peu ouverts sur les richesses culturelles du monde qu’il s’agit d’un prénom masculin.
En plein débat sur l’identité, la famille présidentielle apporte une réponse à tous les partisans de l’"identité française"...
Source
Mercredi 6 janvier 2010 3 06 /01 /Jan /2010 20:50
Eric Besson, sinistre de l'Immigration avait déjà nié qu'il y ait un "peuple premier en France" dans l'émission de Jean-Jacques Bourdin sur Rmc-Info. Hier, mardi 5 janvier 2009, à la cité des 4.000 à La Courneuve en Seine-Saint-Denis (la cité que Nicolas Sarkozy voulait «nettoyer au kärcher» lorsqu'il était ministre de l'Intérieur, en 2005)..., Eric Besson réitère sa négation du peuple français :

« [L]a France n'est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c'est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n'y a pas de Français de souche, il n'y a qu'une France de métissage».

Une trentaine de personnes, principalement des hommes d'origine maghrébine ou africaine, de 30 à 40 ans, avaient fait le déplacement pour cette rencontre. Le débat était organisé dans une médiathèque au coeur de la cité. ... Le débat a duré plus d'une heure, dans le calme.

Source :
Le Parisien, 05.01.2010, 18h05 | Mise à jour : 20h36

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Martine Aubry : "L'identité de la France n'est pas ethnique, pas religieuse, pas culturelle"
- Le rêve égalitaire et libéral, racines du mal totalitaire détruisant le réel : les princes des nuées ou l'"art royal"
- "Changer le monde" avec les jeunes de l'Ump
- La France "ne se définit pas par rapport à un territoire et seulement à une histoire" (Michel Rocard)
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Eric Besson : "Il n'y a pas de français de souche"
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"Les Français sont des minables et négatifs" (Carla Bruni)
- Une France où l'expression "Français de souche" aura disparu... (Nicolas Sarkozy)
Mardi 22 décembre 2009 2 22 /12 /Déc /2009 19:43
Voici un communiqué remarquable de Marine Le Pen, "A Lorient : Sarkozy impose la loi des racailles" où elle nomme les choses par leur nom, dénonçant un racisme anti-français qui conduit Nicolas Sarkozy à s'en prendre aux victimes plutôt qu'aux agresseurs et une "escalade insupportable de la haine anti-française".

Source :
Communiqué de Presse de Marine LE PEN, Vice-Présidente du Front National

Après une série d’agressions perpétrées contre des soldats français par des bandes ethniques, les autorités militaires ont interdit aux 3 000 marins de Lorient la fréquentation nocturne d’une partie du centre-ville.

Face à la montée d’un racisme anti-français toujours plus violent et aux attaques répétées contre les symboles de la nation, Nicolas Sarkozy préfère s’en prendre aux victimes plutôt qu’à leurs agresseurs.

Marine Le Pen, vice-présidente du Front National, dénonce cette escalade insupportable de la haine anti-française qui se manifeste désormais dans toutes les villes de France.

Face à ce barbarisme ethnique qui ne connaît aucune limite comme on a pu le voir à Marseille, Roubaix ou encore Toulouse, elle en appelle à une réaction ferme et intransigeante de l’Etat.

Les Français ne sauraient tolérer encore plus longtemps d’être humiliés, insultés et méprisés dans leur propre pays et de devoir payer de leur liberté le laxisme criminel de l’Etat à l’égard des délinquants.
Vendredi 20 novembre 2009 5 20 /11 /Nov /2009 12:50
"Je trouve ce débat inutile et dangereux", a déclaré sur France Inter Michel Rocard, interrogé sur "le grand débat sur l'identité nationale" lancé par le ministre de l'Immigration Eric Besson (ex-Parti socialiste) qui a chargé les préfets de l'organiser.

"La France, c'est l'ouverture permanente, c'est le changement constant" et l'idée de vouloir "formaliser" une identité nationale "me paraît dangereuse", a-t-il expliqué. Selon lui, la France est un pays qui "ne se définit pas par rapport à un territoire et seulement à une histoire. Il se définit par une manière d'être ensemble".

"Quand on veut s'isoler pour se définir, on renonce" à la déclaration des droits de l'Homme et du citoyen de 1789 proclamant: "Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits", a-t-il conclu.

(Fin de citation)

Fantastique inversion du socialiste Rocard qui n'en est pas à sa première imbécilité... Ne serait-ce pas plutôt la définition de l'identité nationale française et son affirmation qui précisément conditionnerait le respect des droits de l'homme, à commencer par le droit à la sûreté et à la sécurité ?

N'est-ce pas ce relativisme dans la définition de l'identité nationale qui légitime toutes sortes d'expressions anti-françaises ?

La richesse et la diversité dans le monde n'impliquent-t-elles pas la reconnaissance des identités nationales de chaque nation et a fortiori celle de la France ? Pourquoi cet acharnement à nier l'être de la France ?

La négation des identités nationales n'ont-elles pas été dans l'histoire la source de graves conflits ?...
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1 commentaire:

  1. Il n'y à que Marine qui peut nous sauver, tous les autres sont des dégonflés

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