jeudi 17 février 2011

Violeurs, tueurs tunisiens sont payés pour débarquer chez nous.

 Les tunisiens débarquent en Europe en France

les faux réfugiés ?  des criminels sortis des prisons ?

exigeons la démission de nos gouvernants si ces miliers de tunisiens ne sont pas immédiatement renvoyés à Tunis

Invasion  guerre civile avec les envahisseurs   guerre mondiale déclenchée par la guerre civile avec les envahisseurs non européens

Plan illuminati d'invasion-guerre civile-guerre mondiale

Oui vous lisez bien REFUGIES !

De qui se moque t'on ? Les médias utilisent ce mot pour qualifier ces milliers de tunisiens qui débarquent chez nous alors même que leur dictateur a été viré!

On nous prend pour des cons depuis quarante ans, mais là cela dépasse toutes les bornes de l'imaginable , tous les records de mépris sont largement dépassés pour notre peuple de souche européenne !

A quel danger échappent-ils ces milliers de tunisiens qui ont envahi Lampédusa et vont être injectés chez nous ?
 A celui de retourner en prison en Tunisie pardi !

C'est l'unique danger qui les guettent ces criminels qui étaient en prison pour viols, meurtres, vols !

Ils ont été élargis sans discernement avec les prisonniers politiques, et par peur de retourner en prison étant donné les crimes bien réels qu'ils ont commis, ils viennent chez nous, mais mieux ils ont tous comme par hasard 1000 €uros chacun pour payer le passeur !

En sortant de prison, comment auraient-ils ces mille € ? Parce qu'on les leur a donnés pour qu'ils viennent nous rajouter de la criminalité !

On ? A votre avis ? Les mêmes qui donnent aux jeunes afghans de 14 ans, de quoi venir à Paris !

Il se trouve qu'il y a quelques mois, sur la deux, dans un reportage, ces jeunes afghans avaient été interrogés sur la question de savoir  comment ils étaient venus et pourquoi, et ils avaient répondu que des hommes, certains ont précisé militaires américains, leur ont donné de l'argent pour qu'ils viennent en France !

Pour eux, la somme qu'ils disaient unanimement avoir reçue montait à 10000 € !

Les illuminati veulent la guerre civile en France, avec les msusulmans et autres envahisseurs, donc ils en rajoutent tant et plus !

Nos prisons sont plus que saturées de ces gens et voilà qu'on nous envoie les criminels de Tunisie ?

Tiens voilà du rab de criminalité et de criminels, en quelque sorte ! NON MERCI !

On va les laisser chez nous ? Parce que tous ceux qui débarquent veulent venir en France justement !

Exigeons de Sarkozy, leur renvoi immédiat à Tunis ou alors sa démission immédiate à lui Sarkozy.

C'est peut-être notre tour à nous peuple français de virer nos dirigeants, une fois pour toutes.
Nous n'en voulons pas, puisque au contraire les non européens de souche doivent repartir, et en plus ceux-là sont tous des criminels avérés.

Stop et retour immédiat, avec facture au gouvernement tunisien ! A lui de maintenir sa population sur son sol et de punir impitoyablement les passeurs qui sont des criminels envers nos peuples européens.

Pas un seul ne doit arriver en France, alors à nous peuple légitime d'empêcher ça.

Exigeons la démission de notre gouvernement et du président si un seul de ces tunisiens criminels débarque chez nous.

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Les clandestins tunisiens squattent les squares parisiens

26/04/11 – 22h30
PARIS (NOVOpress)
– Premières manifestations visibles à Paris de la nouvelle vague d’immigration clandestine qui frappe l’Europe et plus particulièrement la France, des groupes de clandestins squattent des squares dans le XIXe arrondissement de Paris, en bordure du périphérique.
Arrivés par l’île italienne de Lampedusa, âgés de 18 à 35 ans, ils ont gagné la France en général par la mer, via Vintimille, sans ressources, espérant bénéficier des mannes sociales françaises.
Leur vision fantasmée d’un « eldorado » français prend donc aujourd’hui la forme d’une clochardisation dans les squares de Paris, nourris par quelques bénévoles d’association caritatives, en attendant l’arrivée de ces mannes sociales.
Selon ces bénévoles, les clandestins tunisiens seraient désormais entre 350 et 400 et des dizaines de nouveaux arriveraient quotidiennement.

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Les moyens juridiques pour interdire une vague migratoire existent, messieurs du gouvernement !

« La France ne saurait accepter cette immigration économique qui prend prétexte d’événements politiques. Il serait tout de même paradoxal de les accueillir alors que leurs pays s’ouvrent à la liberté et à la démocratie. »
Oh ! le beau coup de menton de Claude Guéant ! (1)
Dans la pratique, et comme d’habitude en matière d’insécurité, d’immigration et d’islam, le gouvernement est habile à prononcer des mots destinés à ponctionner « les voix du Front National », mais les actes ne suivent pas. Ce gouvernement est immigrationiste, largement autant que le pire bisounours de gôche, quoique pas pour les mêmes raisons. Face à la vague migratoire venue du Maghreb, on ne la combat pas. On fait semblant. La police attrape une partie des clandestins. L’Italie reprend une partie de cette partie. Les juges libèrent à peu près tout le reste, qui vient s’égailler en France et y restera de nombreuses années, comme d’hab, avec le soutien d’ associations immigrationnistes subventionnées, et même d’élus qui se vantent de violer la loi en faveur des clandestins (6).
La bataille contre une vague d’immigration clandestine de grande ampleur, à supposer que le gouvernement veuille la mener et non pas faire semblant- comporte des aspects juridiques qui ne sont pas secondaires : il ne sert à rien que le policier attrape des clandestins si le juge les relâche. Des moyens juridiques à la hauteur de l’enjeu existent. Ils sont deux :
Tout d’abord, il est possible de suspendre la Convention de Schengen (3), ce fléau qui ouvre nos frontières à tous vents et permet à un clandestin tunisien de débarquer à Lampedusa pour être en France quelques jours après. Une telle suspension est prévue est prévue à l’article 2.2 de la convention. Cet article a joué à plusieurs reprises, en particulier lors de matchs de football dont on craignait les supporters, ou pour protéger la nomenklatura qui nous gouverne à l’occasion de sommets internationaux. On ne voit donc pas pourquoi une telle suspension ne pourrait être décidée pour protéger le peuple de ce pays d’une vague migratoire massive.
Il est également possible -cela ne demande que le temps d’une notification à l’ONU – de proclamer l’état d’urgence (4), comme l’a fait l’Italie (5). L’état d’urgence permet, en cas de péril imminent, de prendre toutes les mesures nécessaires pour faire face à la situation, en s’affranchissant des lois ordinaires. Il pourrait permettre, par exemple, de renvoyer des clandestins sans procès, ou de placer en rétention aussi longtemps qu’il faut ceux que leur pays joue à ne pas reprendre.
Bien entendu, rien qu’en entendant les mots « état d’urgence », la bisounourserie patentée se met à hurler aussi fort que s’il s’agissait d’ouvrir des camps de concentration (5). Ce service aux pseudo-réfugiés économiques est rendu au détriment des vraies victimes de guerre, qui, elles, ont besoin d’abord qu’on leur permette de fuir physiquement la zone des combats (2). Si toute personne qui, en fuyant, a mis le pied sur le sol d’un autre pays se voit reconnaître une sorte de « droit » de s’y installer définitivement à terme, il est clair que les populations des pays d’accueil potentiels seront réticentes. Il est donc des plus important qu’une compassion mal placée n’aboutisse pas à ne laisser que le choix entre deux « solutions » extrêmes : renvoyer les personnes déplacées sur le champ de bataille ou les accueillir définitivement.
Pour l’heure, le gouvernement ne prend aucune mesure juridique qui soit à la hauteur de la vague migratoire. Il parait (1) qu’il y a une faille juridique : la France serait en retard de transposition d’une directive de 2008 qui permet le retour de clandestins dans leur pays. On attend un avis du Conseil d’Etat sur ce sujet pour le 7 mars … toujours ce gouvernement des juges. Pendant le tsunami, le délibéré continue ….
En réalité, pour prendre les mesures vraiment efficaces (suspension du traité de Schengen et proclamation de l’état d’urgence), il n’y a nul besoin de tout cela. La directive de 2008 ne concerne pas les situations d’urgence.
Jeanne Bourdillon
(1) Le Figaro – édition papier des 5 et 6 mars 2011 page 10 – Immigration : la bataille sera juridique, par Jean-Marc Leclerc
(2) Le JDD – édition papier du 6 mars 2011 page 16- « Il faut se garder de diaboliser les réfugiés », interview de Philippe Leclerc, représentant à Paris du HCR
(3) Le traité de Schengen :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Convention_de_Schengen#Membres_et_mise_en_application
(4) L’état d’urgence, notion :
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tat_d’urgence
(5) L’état d’urgence « humanitaire » en Italie :
http://ripostelaique.com/litalie-letat-durgence-humanitaire-et-les-bisounours-enrages.html
(6) Comment des élus se vantent de violer la loi au profit des clandestins :
http://ripostelaique.com/La-LDH-n-en-rate-pas-une-elle-voit.html

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