jeudi 27 janvier 2011

L’imam de Bordeaux : Contradictions, tromperies, rapprochements douteux, prosélytisme musulman



L’imam de Bordeaux donne une leçon de « taqiyya »

Jeudi 20 janvier, Tareq Oubrou, imam de Bordeaux et président de l’Association des musulmans de Gironde, était à Pessac, commune limitrophe de Bordeaux, pour y tenir une conférence-débat sur le thème : « Islam et République ». Les identitaires d’Aquitaine étaient là aussi.
Devant une salle comble, composée en grande majorité de retraités style bobo et autres soixante-huitards attardés, d’une poignée de jeunes « souchiens » sympathisants de l’islam et sous le regard bienveillant de Jean-Jacques Benoît, maire (PS) de Pessac, Tareq Oubrou s’est livré pendant plus d’une heure et demie à un magnifique numéro d’équilibriste.
Dès le début, un appel a été lancé par un de nos camarades pour que soit respectée une minute de silence en mémoire des coptes tués dans un attentat à la bombe en Egypte et des deux journalistes français assassinés au Niger. Appel rejeté par l’organisateur ! Tareq Oubrou commentera cette demande en regrettant ces terribles événements sans nommer clairement ses responsables… et demandera que notre caméra soit retirée ! Pas question que cette conférence soit relayée par les Identitaires, qu’il ne nommera jamais, préférant dénoncer le « populisme » et les actions « islamophobes ».
La ligne défendue par Tareq Oubrou : ce n’est pas l’islam qui doit être critiqué mais l’interprétation que certains en font, par ignorance. Ainsi de l’islam en Afrique, par exemple au Mali, qui serait dévoyé par une méconnaissance des textes. Ainsi, également, de l’islam en Afrique du Nord, au Maroc ou en Algérie, qui serait dévoyé en raison de l’inculture de ceux qui s’en réclament. L’islam comme « religion d’amour, de tolérance et de paix » serait-il donc réservé… à une élite ? C’est ce qu’on finit par comprendre quand Tareq Oubrou n’hésite pas à critiquer les propos tenus par Hassan II, qui estimait qu’on ne pouvait pas être musulman et laïc. Le roi du Maroc n’aurait pas eu les compétences requises pour affirmer une telle chose !
Si le « descendant du Prophète et Commandeur des croyants » n’était pas apte à juger de l’aptitude de l’islam à se couler ou non dans la laïcité, qui l’est ? Tareq Oubrou tout seul ? Et comment prétend-il pouvoir opérer la « modernisation de l’islam »… s’il est seul à penser que cette « modernisation » est possible ? Et si son interprétation du Coran est aussi vaseuse que celle de la Genèse, qui suscitera tout de même quelques désapprobations dans la salle, pas sûr qu’il soit vraiment à la hauteur de la tâche.

Tareq Oubrou
Un militant identitaire interpelle Tareq Oubrou sur la question des violences faites aux femmes et sur le manque de considération porté à celles-ci par le Coran, citant pour cela le verset 224 de la sourate 2 :
« Vos épouses sont pour vous un champ de labour ; allez à votre champ comme vous le voulez et œuvrez pour vous-mêmes à l’avance. »
Réponse de l’imam : mauvaise interprétation, relecture du Coran, exception culturelle. Et Tareq Ourou de mettre en avant la vie « exemplaire » du prophète et de son épouse Aicha, en omettant de préciser que cette dernière n’avait que six ans lors de son mariage, et neuf ans lors de sa « consommation » ! Interrogé à deux reprises sur la lapidation et les propos de Tarik Ramadan, il classera tout simplement Ramadan dans la catégorie des ignorants « fêlés ».
Sur les autres questions : appartenance à l’UOIF et au Conseil européen de la fatwa par exemple, Tareq Oubrou n’a pas répondu. Attention, sujets sensibles !
Enfin, lorsqu’un de nos militants l’interpellera sur l’impossibilité pour un entrepreneur de travailler en Arabie saoudite sans s’être converti, il s’énervera et répondra que c’est un mensonge. M. Oubrou devrait prendre la peine de lire Sud-Ouest. Il aurait eu connaissance des difficultés rencontrées par un entrepreneur béarnais pour travailler en Arabie saoudite.
Contradictions, tromperies et approximations, rapprochements douteux, prosélytisme musulman : Oubrou nous a donné une belle démonstration de « taqiyya » : la « tromperie » (ou la « dissimulation ») à l’égard des non-musulmans dans le but de faire triompher sa foi.
« La taqiyya est d’une importance fondamentale dans l’islam. Pratiquement toutes les factions islamiques la reconnaissent et la pratiquent […] On peut même dire que la pratique de la taqiyya fait partie de la norme de l’islam, et que les rares factions qui ne la pratiquent pas sont justement en dehors de la norme musulmane. La taqiyya est dominante dans la politique islamique, en particulier durant la période moderne. »
Signé : Sami Mukaram, ancien professeur d’études islamiques à l’université américaine de Beyrouth, auteur d’une vingtaine d’ouvrages sur l’islam, et notamment de At-Taqiyya fi’l-Islam (« De la dissimulation dans l’islam »).
Source : Identitaires d’Aquitaine

http://fr.novopress.info/77300/limam-de-bordeaux-donne-une-lecon-de-%C2%AB-taqiyya-%C2%BB/


http://www.sudouest.fr/2011/01/20/le-bearn-eclaire-la-mecque-295162-4396.php

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Le Béarn éclaire La Mecque

AE&T, une société béarnaise, a signé un contrat de 3 millions d'euros pour illuminer le sommet de la tour géante du futur complexe hôtelier de la ville sainte.

 Les ingénieurs et le directeur général d'AE&T devant les lampes bientôt installées à La Mecque.  photo luke laissac

Les ingénieurs et le directeur général d'AE&T devant les lampes bientôt installées à La Mecque. photo luke laissac

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La coopération départementale a porté ses fruits : les lampes dotées d'une ampoule au xénon, visible le jour, et d'une led verte, visible la nuit, sont maintenant sur place. Seule interrogation, le chantier d'installation, qui n'a pas encore commencé.
Des superviseurs tunisiens
L'aventure arabe d'AE&T comporte son lot de particularités. Si en Géorgie, Denis a dû négocier avec un membre du gouvernement, juste avant l'arrivée des Russes, dans une boîte de nuit au cœur de la capitale, pour ce chantier, on lui a proposé de se convertir à la religion musulmane. « C'était une condition pour que je puisse suivre le chantier là-bas. L'architecte allemand, lui-même musulman, m'a laissé entendre que je devais y penser. Je lui ai dit que mon curé me l'interdisait ! » sourit le Béarnais.
Du coup, il a fait appel à des superviseurs musulmans qu'il a eu la bonne idée d'aller trouver en Tunisie. « J'ai suivi les événements tunisiens de près et j'ai vite envoyé un e-mail. J'ai eu la réponse dernièrement de mon correspondant. Il se montre rassurant. » Ouf, Denis Porteu commençait à se faire des cheveux blancs !
(1) Créée en 1976, la société par actions simplifiées est toujours aux mains de son fondateur Jean-Yves Joseph. (2) AE&T a bénéficié d'une subvention publique de 250 000 euros.

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mardi 8 février 2011

L’ancien imam de Brest interpellé

Abdelkader Yahia Chérif, l’ancien imam de la mosquée de Pontanézen, un quartier hautement « sensible » de Brest, a été, révèle Ouest-France, interpellé discrètement en début de semaine par la police française. Ressortissant algérien, Abdelkader Yahia Cherif avait été expulsé de France vers l’Algérie en avril 2004 « pour prosélytisme en faveur d’un islam radical ».

Ancien professeur de français en Algérie, l’imam s’était à l’époque réjoui des attentats de Madrid. Lors de son expulsion, il avait déclaré à l’AFP, qu’il « n’avait rien à se reprocher», persuadé de la justesse de ses «fatwas» prêchées dans la mosquée de Brest. « Je puise mes prêches dans la science, le Coran, la sunna et je m’inspire des exégètes de l’islam », avait-t-il affirmé.

Abdelkader Yahia Chérif s’était vu notamment reprocher par les autorités françaises un prosélytisme radical à l’égard de la jeunesse, des appels à la violence et des propos antisémites. Contestant son expulsion, il avait affirmé que « les Français ont commencé la guerre contre les musulmans avec l’affaire du voile. Ces expulsions sont un signe fort pour dissuader les imams dans leurs prêches ».

L’expulsion de l’imam de Brest avait été suivie une semaine plus tard par celle d’Abdelkader Bouziane, imam de la mosquée de Vénissieux, près de Lyon. Cet Algérien polygame, père de seize enfants (français), avait, dans un entretien qui avait le mérite de la franchise accordé à Lyon-Mag, justifié au nom du Coran le droit de battre les épouses infidèles, légitimé la polygamie et souhaité la victoire de l’Islam dans le monde.


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