Islamisme : l'ennemi intérieur
Le 11 décembre dernier, la Suède a eu le triste privilège de s'ajouter à la liste des Etats européens victimes du terrorisme islamiste. Plus que l'attentat en lui-même (qui ne fit heureusement aucune victime), c'est surtout le profil du terroriste qui a choqué les Suédois.
En effet, bien que d'origine irakienne, Taimur Abdulwahab Al Abdaly était devenu un citoyen suédois à part entière, et avait bénéficié durant sa jeunesse d'une éducation qui lui avait permis par la suite d'étudier dans une université britannique. En quelques heures, le kamikaze était devenu l'incarnation de l'échec du modèle d'intégration suédois. Mais ce cas est-il isolé en Europe ?
Dans son édition du 18 décembre, "The Economist" s'est penché sur le profil des 228 terroristes islamistes capturés dans les pays occidentaux ces dernières années.
Citant une récente étude de deux chercheurs de l'Institut danois des études internationales, l'hebdomadaire britannique évoque des chiffres particulièrement interpellant.
Entre 1997 et 2003, 27% des terroristes arrêtés avaient été élevés dans des pays occidentaux. Tous avaient alors des liens avec la nébuleuse islamiste.
Mais si l'on se penche sur la période 2004-2008, il apparaît que 84% des terroristes ont reçu une éducation occidentale, et qu'à peine 28% d'entre-eux entretenaient des liens avec des activistes étrangers. Aujourd'hui, le terroriste islamiste opérant en Europe n'est donc plus un "étranger" mais bien un "ennemi intérieur", né et élevé dans un pays occidental dont il est généralement un citoyen...
Des chiffres qui nous démontrent avec suffisance la nécessité d'adopter au plus vite en Belgique une politique migratoire et d'intégration à la fois ferme et cohérente tout en réaffirmant avec force les principes fondamentaux de notre démocratie (neutralité, égalité hommes/femmes, etc.), notamment à l'école et dans la fonction publique, face à l'islamisme, le "principal ennemi de la démocratie" pour reprendre les récents propos du prix Nobel de littérature Mario Vargas Llosa.
A recent study by Manni Crone and Martin Harrow of the Danish Institute for International Studies analysed the backgrounds of 228 Islamic terrorists captured in the West. Some 27% of those captured between 1997 and 2003 were Western-reared, the study found, and all had ties to shady international organisations. Between 2004 and 2008, fully 84% of culprits had a Western upbringing but only 28% had links to foreign militants.
The threat of home-grown terrorism has set the security forces on edge, even if it seems so far to have been less effective than the foreign variety. It will now also keep peaceable Scandinavians on the alert. The assassinations of two Swedish politicians, Olof Palme in 1986 and Anna Lindh in 2003, put public figures on their guard. The threat of terrorism in the streets will do the same for shoppers and travellers. And it may help far-right anti-Muslim parties, such as the Sweden Democrats, who won seats in the Swedish parliament for the first time in September.
http://www.economist.com/node/17733484
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En effet, bien que d'origine irakienne, Taimur Abdulwahab Al Abdaly était devenu un citoyen suédois à part entière, et avait bénéficié durant sa jeunesse d'une éducation qui lui avait permis par la suite d'étudier dans une université britannique. En quelques heures, le kamikaze était devenu l'incarnation de l'échec du modèle d'intégration suédois. Mais ce cas est-il isolé en Europe ?
Dans son édition du 18 décembre, "The Economist" s'est penché sur le profil des 228 terroristes islamistes capturés dans les pays occidentaux ces dernières années.
Citant une récente étude de deux chercheurs de l'Institut danois des études internationales, l'hebdomadaire britannique évoque des chiffres particulièrement interpellant.
Entre 1997 et 2003, 27% des terroristes arrêtés avaient été élevés dans des pays occidentaux. Tous avaient alors des liens avec la nébuleuse islamiste.
Mais si l'on se penche sur la période 2004-2008, il apparaît que 84% des terroristes ont reçu une éducation occidentale, et qu'à peine 28% d'entre-eux entretenaient des liens avec des activistes étrangers. Aujourd'hui, le terroriste islamiste opérant en Europe n'est donc plus un "étranger" mais bien un "ennemi intérieur", né et élevé dans un pays occidental dont il est généralement un citoyen...
Des chiffres qui nous démontrent avec suffisance la nécessité d'adopter au plus vite en Belgique une politique migratoire et d'intégration à la fois ferme et cohérente tout en réaffirmant avec force les principes fondamentaux de notre démocratie (neutralité, égalité hommes/femmes, etc.), notamment à l'école et dans la fonction publique, face à l'islamisme, le "principal ennemi de la démocratie" pour reprendre les récents propos du prix Nobel de littérature Mario Vargas Llosa.
A recent study by Manni Crone and Martin Harrow of the Danish Institute for International Studies analysed the backgrounds of 228 Islamic terrorists captured in the West. Some 27% of those captured between 1997 and 2003 were Western-reared, the study found, and all had ties to shady international organisations. Between 2004 and 2008, fully 84% of culprits had a Western upbringing but only 28% had links to foreign militants.
The threat of home-grown terrorism has set the security forces on edge, even if it seems so far to have been less effective than the foreign variety. It will now also keep peaceable Scandinavians on the alert. The assassinations of two Swedish politicians, Olof Palme in 1986 and Anna Lindh in 2003, put public figures on their guard. The threat of terrorism in the streets will do the same for shoppers and travellers. And it may help far-right anti-Muslim parties, such as the Sweden Democrats, who won seats in the Swedish parliament for the first time in September.
http://www.economist.com/node/17733484
Attentat: la piste d'un Russe converti à l'islam se précise
AFP
Mis en ligne le 28/01/2011
Selon Kommersant, l'imam serait un islamiste wahhabite dont des disciples ont pris part à une attaque rebelle contre Naltchik (Kabardino-Balkarie, Caucase russe) en octobre 2005, qui s'est soldée par la mort de 35 policiers et soldats russes et 15 civils.
La piste d'un Russe converti à l'islam wahhabite se précisait vendredi quatre jours après l'attentat qui a fait 35 morts à l'aéroport de Moscou, selon les informations de la presse locale, alors que les enquêteurs restaient très discrets sur l'avancée de leurs investigations.&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&
Victime de racisme anti-blanc :
www.blog-identitaire.com
http://www.youtube.com/watch?v=3PIstM6n2tI
A Paris et dans le reste du pays, la communauté tunisienne s’est mobilisée pour soutenir la révolte qui se déroule de l’autre côté de la méditerranée. La nouvelle « liberté » du peuple tunisien a été accueillie par des drapeaux, des chants et de nombreuses manifestations de joie dans les rues de la capitale. Conscients que la seule place d’un patriote se trouve sur la terre de ses ancêtres, les Apaches souhaitent à ces tunisiens un agréable retour au pays.
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Rappel
Tayyip Erdogan avait, il y a quelques années, fièrement déclaré : « Les mosquées sont nos casernes, les minarets nos baïonnettes, les dômes nos casques, et les croyants, nos soldats ! ». Pas de doute, le peuple turc est notre ami… Debout l’Europe !
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Les fast-food précèdent les mosquées
Categorie(s) : Chroniques, par Florent
La culture métissée, mondialisée et standardisée, imposée par le système, autrement dit la « world culture » dont les fast-foods sont les symboles, a préparé le terrain à l’islamisation actuelle de la France. En détruisant peu à peu chez nos compatriotes tout sentiment d’appartenance, de fierté ou de solidarité, en culpabilisant à outrance leur mémoire, le « système à tuer les peuples » a permis au loup de rentrer dans la bergerie européenne.
Culture mondiale, ville mondiale, population mondiale, Paris crève d’abord de ce mondialisme qui transforme notre ville en musée géant, vidant les derniers représentants de son peuple loin des fortifs.
Paris crève aussi de ses bourgeois enfermés dans leurs arrondissements forteresses. Toujours prompts à encenser la mixité ou la diversité, en oubliant que le prix du mètre carré (7000 euros !) leur permet de vivre entre eux.
Paris crève aussi de ses « pau-bo », ou « pauvres bohèmes », venus s’installer dans la Capitale pour fuir une province aux mœurs honnies. Ils ont beau jeu nos bourgeois et nos « pau-bo » de nous jouer cette comédie de la détestation, alors que ce sont les mêmes mentalités pourries par la culture mondiale.
Paris crève aussi de ses bourgeois enfermés dans leurs arrondissements forteresses. Toujours prompts à encenser la mixité ou la diversité, en oubliant que le prix du mètre carré (7000 euros !) leur permet de vivre entre eux.
Paris crève aussi de ses « pau-bo », ou « pauvres bohèmes », venus s’installer dans la Capitale pour fuir une province aux mœurs honnies. Ils ont beau jeu nos bourgeois et nos « pau-bo » de nous jouer cette comédie de la détestation, alors que ce sont les mêmes mentalités pourries par la culture mondiale.
Et pour lutter contre cette islamisation, il n’y a rien à attendre de cette culture mondiale, elle s’adaptera comme s’est adaptée une chaine de fast-food au Halal.
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Multiculturalisme, le début de la fin ?
Posté par admin dans agression islamique le 02 5th, 2011 |
Même l’Angleterre dénonce le multiculturalisme :
Le premier ministre britannique, David Cameron, comme la chancelière allemande Angela Merkel en 2010, a dénoncé samedi l’échec de la politique de multiculturalisme dans son pays, en appelant à mieux intégrer les jeunes musulmans pour lutter contre l’extrémisme.
Les déclarations de David Cameron devant la Conférence de Munich sur la sécurité marquent un changement important dans la politique britannique à l’égard des minorités ethniques et religieuses.
Le premier ministre britannique a en effet estimé que le fait d’avoir adopté une politique de trop grande «tolérance» à l’égard de ceux qui rejettent les valeurs occidentales, avait échoué.
Il a plaidé en faveur d’«un libéralisme plus actif, plus musclé» pour défendre activement l’égalité des droits, le respect de la loi, la liberté d’expression la démocratie, et renforcer l’identité nationale en Grande-Bretagne.
«Si nous voulons vaincre cette menace, je crois qu’il est temps de tourner la page des politiques du passé qui ont échoué», a-t-il déclaré, à propos de l’extrémisme islamique dans le pays.
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Ce jeudi 10 février, lors d’une conférence de presse exceptionnelle Philippe Vardon – président de Nissa Rebela – a présenté aux médias une vidéo tournée par un militant identitaire et montrant une prière se déroulant le vendredi 4 février rue de Suisse, derrière l’église Notre-Dame. Sur cette vidéo on peut clairement voir que devant la salle de prière islamique, des musulmans prient en pleine rue. La rue est bloquée de part et d’autre et des hommes semblent assurer la sécurité ou en tous cas réguler la circulation.
En juin dernier, à travers l’opération connue désormais sous le nom d’apéro saucisson-pinard de la Goutte d’Or, les identitaires avaient fait éclater au grand jour la réalité de ces prières musulmanes bloquant en toute illégalité des rues entières dans le 18ème arrondissent. Un rassemblement réunissant près de 1 000 personnes avait même été organisé le 18 juin. Se plaçant dans la roue des identitaires, Marine Le Pen avait dénoncé ces prières de rue, et à sa suite Christian Estrosi (se positionnant donc lui aussi sur une problématique soulevée par les identitaires).
Aujourd’hui, Nissa Rebela vient révéler à travers ces images que cette occupation des rues par des prières musulmanes existe aussi à Nice. Cela de manière régulière et continue depuis de très nombreux mois comme nous l’ont confié à la fois riverains et forces de police… Pourtant, Christian Estrosi déclare sur les plateaux de télé et dans les journaux être favorable à l’interdiction de ces prières publiques.
Que doit-on comprendre ? Soit Christian Estrosi connaît cette réalité et se moque des Niçois en jouant les durs dans les médias tout en ne faisant rien dans sa propre ville, soit il n’est pas au courant de ce qui se déroule dans les rues de Nice (alors que de nombreux habitants nous ont alerté, et que la situation est manifestement connue des forces de l’ordre, donc certainement du Préfet) et cela serait presque tout aussi grave.
Christian Estrosi a aujourd’hui une occasion unique de montrer sa détermination réelle en prenant un arrêté municipal d’interdiction des prières publiques dans les rues niçoises.
La situation ayant désormais été révélée, si Christian Estrosi ne faisait rien, les Niçois constateraient (une fois de plus) qu’il n’est bon qu’à parler et s’agiter, mais jamais à agir. Et ce serait alors (une fois de plus aussi), aux identitaires de Nissa Rebela de s’investir pour faire cesser cette situation intolérable dans nos rues.
Occupation des rues niçoises par les prières musulmanes : Estrosi doit maintenant agir !
Il y a moins d’un mois, invité du Talk Orange-le Figaro, Christian Estrosi déclarait « prier dans la rue doit être interdit ». Fidèle à son habitude, il ne manquait pas en parallèle de demander que de nouvelles mosquées soient donc construites… Ces déclarations sur l’interdiction des prières dans les rues ont été largement reprises, notamment en couverture du principal quotidien niçois.Communiqué et VIDEO EXCLUSIVE de Nissa Rebela
Ce jeudi 10 février, lors d’une conférence de presse exceptionnelle Philippe Vardon – président de Nissa Rebela – a présenté aux médias une vidéo tournée par un militant identitaire et montrant une prière se déroulant le vendredi 4 février rue de Suisse, derrière l’église Notre-Dame. Sur cette vidéo on peut clairement voir que devant la salle de prière islamique, des musulmans prient en pleine rue. La rue est bloquée de part et d’autre et des hommes semblent assurer la sécurité ou en tous cas réguler la circulation.En juin dernier, à travers l’opération connue désormais sous le nom d’apéro saucisson-pinard de la Goutte d’Or, les identitaires avaient fait éclater au grand jour la réalité de ces prières musulmanes bloquant en toute illégalité des rues entières dans le 18ème arrondissent. Un rassemblement réunissant près de 1 000 personnes avait même été organisé le 18 juin. Se plaçant dans la roue des identitaires, Marine Le Pen avait dénoncé ces prières de rue, et à sa suite Christian Estrosi (se positionnant donc lui aussi sur une problématique soulevée par les identitaires).
Aujourd’hui, Nissa Rebela vient révéler à travers ces images que cette occupation des rues par des prières musulmanes existe aussi à Nice. Cela de manière régulière et continue depuis de très nombreux mois comme nous l’ont confié à la fois riverains et forces de police… Pourtant, Christian Estrosi déclare sur les plateaux de télé et dans les journaux être favorable à l’interdiction de ces prières publiques.
Que doit-on comprendre ? Soit Christian Estrosi connaît cette réalité et se moque des Niçois en jouant les durs dans les médias tout en ne faisant rien dans sa propre ville, soit il n’est pas au courant de ce qui se déroule dans les rues de Nice (alors que de nombreux habitants nous ont alerté, et que la situation est manifestement connue des forces de l’ordre, donc certainement du Préfet) et cela serait presque tout aussi grave.
Christian Estrosi a aujourd’hui une occasion unique de montrer sa détermination réelle en prenant un arrêté municipal d’interdiction des prières publiques dans les rues niçoises.
La situation ayant désormais été révélée, si Christian Estrosi ne faisait rien, les Niçois constateraient (une fois de plus) qu’il n’est bon qu’à parler et s’agiter, mais jamais à agir. Et ce serait alors (une fois de plus aussi), aux identitaires de Nissa Rebela de s’investir pour faire cesser cette situation intolérable dans nos rues.
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