samedi 29 janvier 2011

Le Camp des saints :les conséquences d'une immigration massive sur la civilisation occidentale

Lisez le "camp des saints". C'est surtout intéressant par rapport aux personnalités occidentales caricaturales qui y sont décrites (toutes las âmes bien pensantes de la gauche caviar, qui finissent écrabouillées par leurs protégés, çà m'a bien fait rire!

Le Camp des saints

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Le Camp des saints est un roman de l'écrivain français Jean Raspail publié en 1973.
Il décrit les conséquences d'une immigration massive sur la civilisation occidentale, et la France en particulier.

Le roman

Dans le delta du Gange, un million de « miséreux » prennent d'assaut des cargos. Ceux-ci voguent alors vers un Occident incapable de leur faire modifier leur route. Les bateaux s'échouent sur la Côte d'Azur, sous l'œil impuissant de pouvoirs publics désarmés face à la veulerie de la population autochtone et l'affaiblissement de l'armée.
Dans ce roman, qui comporte de nombreuses références à l'Apocalypse de Saint Jean, Jean Raspail décrit la submersion de la France, qui résulte de l'incapacité tant des pouvoirs publics que de la population à réagir face à cette invasion, pacifique, mais lourde de conséquences pour une civilisation déjà ancienne.
Il y dénonce ce qu'il considère être un aveuglement de la part d'un clergé catholique, trop favorable à ses yeux à l'accueil de populations immigrées, devant les modifications que ces flux comportent sur la nature d'une civilisation.
Le livre d'origine comportait une citation datée. À chaque nouvelle édition (il y en a eu trois en tout), Jean Raspail en a ajouté une, datée également, pour insister sur l'ampleur de plus en plus grande du changement des mentalités sur le sujet en quelques décennies.

Réception du roman[modifier]

Le livre connaît une réception plutôt positive parmi la critique. Beaucoup soulignent non seulement ses qualités littéraires, mais aussi son aspect « prophétique »[1] et le fait qu'il contribue à un débat que l'on hésite à poser en certain termes, de crainte d'être accusé de racisme, en dépit de prévisions démographiques « effrayantes »[2]. Poule aux œufs d'or de son éditeur Robert Laffont, Le camp des saints n'a jamais été imprimé en édition de poche, mais a été traduit dans plusieurs langues (dont l'anglais, l'espagnol et le portugais) et constamment réimprimé[3].
En 2004, soit 31 ans après, l'auteur est revenu sur son roman dans une tribune du Figaro intitulée « La patrie trahie par la République »[4], consacrée au thème de la série : « Qu'est-ce qu'être français aujourd'hui ? ». Il y expliqua que, s'il s'était trompé sur la forme de l'invasion, l'histoire lui avait donné raison sur le fond. Cet article lui a valu, ainsi qu'au Figaro, une plainte de la LICRA qui fut finalement déboutée[5].
Dans la préface de la troisième édition, rédigée en 2006, Raspail a estimé ne rien avoir à regretter de ce qu'il avait écrit.





Dans les milieux connaisseurs des bons livres, on entend quelquefois dire que nous vivons, désormais, dans « Le Camp des Saints ». Mais qui se souvient que l’expression se réfère à un roman de Jean Raspail, écrit en 1972 ?
Au moment où l’Europe se prépare à accueillir quatre-vingts millions de Turcs et, au-delà, deux-cent cinquante millions de turcophones musulmans, il nous a semblé opportun de vous inviter à relire cette œuvre prémonitoire qui décrit la submersion de notre continent par les masses du tiers-monde. On y appréciera l’ironie grinçante et décapante de Raspail qui démonte, une à une, les bonnes intentions dont l’enfer multiculturel est pavé.
Ce qui frappe, à la lecture du texte, c’est sa liberté de ton. Quel écrivain oserait, aujourd’hui, tenir de tels propos ?
Qui aurait la hardiesse de braver les lois liberticides définissant ce que doivent être nos opinions ? Qui aurait le courage de regarder la réalité en face ? Assurément, aucun auteur en vue…
Les esprits curieux du livre apprécieront le résumé que nous en proposons ci-dessous.
Des missionnaires, débordant de charité, ont organisé l’adoption, par des familles occidentales, de milliers d’enfants indiens voués à la misère dans leur pays.
De là, est née l’espérance, pour ces parias, d’une espèce d’adoption en bloc, d’une accession possible au paradis occidental
Près d’un million d’entre eux se sont massés sur les rives du Gange. Ils se sont rués sur les quais et se sont emparés d’une myriade de vieux navires pour gagner l’Occident.
Un essaim grouillant, une foule d’intouchables vont débarquer en Europe, après une longue traversée.
On a imaginé qu’ils rebrousseraient chemin ou qu’ils accosteraient ailleurs, peut-être même qu’une tempête les engloutirait.
Mais comme, ils ont continué d’avancer, on s’est fait à l’idée. Certains s’en sont réjouis, se sont préparés à les accueillir.
Nous avons tant de biens. Eux sont dans un tel dénuement.
Quelle honte de posséder alors que d’autres n’ont rien…
Les bien-pensants sont prêts à partager les richesses des autres sans se rendre compte qu’ils préparent aussi leur propre ruine. Tous ceux qui haïssent la civilisation occidentale voient dans cet événement une occasion inespérée de la détruire enfin.
Une des figures sympathiques du livre, le vieux professeur Calguès demeure dans son intérieur aménagé au fil des ans, composé d’un mobilier choisi, de souvenirs chargés d’histoire. Il ne pliera pas, il ne s’adaptera pas, il gardera ses traditions.
Machefer, journaliste de la ‘’Pensée Nationale’’ a compris le péril, il suit l’inéluctable progression de la flotte des envahisseurs, il réalise que rien n’arrêtera plus ‘’ la force triomphante de la faiblesse’’.
Le lundi de Pâques, les navires viennent s’échouer sur les côtes de France et y déversent une multitude d’êtres décharnés. Cette masse avance irrésistiblement, écrase les faibles résistances organisées par les derniers justes.
L’armée a refusé de tirer sur la multitude accablante.
Elle a envahi la France.
Elle a installé sa misère, son apathie, sa sous-culture. Son chaos.
Et, cette triste fin, n’est qu’un début…

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